12 janvier 2010

DRAGON AGE: ORIGINS

Titre: Dragon Age: Origins

Genre: RPG

Date de Sortie: Novembre 2009 - Testé sur XBOX 360


Pitch: Ferelden est une contrée où subsistent quelques races qui peinent à co-exister ensemble. D'un côté les humains, la race la plus répandue et maîtresse du royaume, dirigés par un roi fantoche révant de gloriole comme celles de ses illustres ancestres, incapable de gérer les nombreux complots qu'ourdissent les familles nobles, toujours prètes à se livrer à l'assassinat pour assoir un quelconque et obscure héritier. D'un autre côté les nains, race pétrie d'orgueil et dont les lois ne font qu'abrutir une populace aveugle, dont les rois se succèdent aussi vite que les combats au sein de l'immense arène de leur capitale. Enfin, les elfes, peuple partagé qui voit la plus grande partie de ces representants asservis en tant que serviteur ou catins pour les nobles humains, cloitrés dans les quartiers pauvre de Denerim, la capitale Humaine alors que leurs cousins qui ont préféré rester à la vie sauvage ont bien du mal à se souvenir d'un passé depuis longtemps oublié et remplacé par une haine raciale dévorante... Mais tout cela n'est rien en comparaison de l'enclin, sorte de rassemblement de créatures maléfiques, autrefois humaines, qui menacent d'envahir le royaume...
Archnophobe s'abstenir...
Derrière ce pitch qui pourrait paraître classique d'un premier abord, se cache en vérité le dernier poulain des écuries Bioware à être venu se perdre dans l'hexagone. (il fallait que je fasse ce test avant le 28 janvier , date de sortie de Mass Effect 2...) Si vous avez un peu parcouru certains articles de ce blog, vous savez que Bioware est une boîte majeure dans le domaine du RPG puisqu'elle avait signé des titres "cultes" comme le légendaire Baldur's Gate, sous licence AD&D (11 ans déjà), ou plus récement Knight of the Old Republic (Licence Star wars) ou Mass Effect. Des RPG qui avait recu un accueil mérité et avait le mérite d'offrir des expériences de jeu poussées dont tous les rôlistes se délectaient. Affranchi d'une quelconque licence (comme c'était le cas avec Mass Effect ou Jade Empire), le studio Bioware pouvait s'offrir le loisir de créer son propre univers, alors tourné vers le genre littéraire qu'est la Dark fantasy, et se targua d'offrir enfin un succsseur à son titre Phare, Baldur's Gate. Avant toute chose, je voudrais éclaircir deux points. Le premier concernent le différence signifiante qui existe entre la version console et PC du Jeu, si je conviens tout à fait que la version PC est supérieure en bien des points (possibilité de vue aerienne, graphismes plus léchés, interface bien plus intuitives et présence de nombreux mods...), ma tache ici est de faire la critique de la version 360 comme telle et pas de fustiger celle-ci sous pretexte qu'elle est moins bonne sous certains aspect. ce qui m'amène à mon deuxième point, je trouve inadmissible qu'un certain pseudo-journaliste, au jugement faussé par son mépris des consoles, puisse pondre un article complétement partial et mensonger sur la version 360 de Dragon Age: Origins. Attendez vous donc chers lecteurs (et je m'en excuse) à me voir fustiger cet ersatz de testeur qu'est Dr Chocapic...
Je n'entrerais à aucun moment dans des détails importants du scénario ou l'évocation de personnages ou évenements pour laisser la surprise totale à ceux qui n'auraient pas fait le jeu...
Bioware nous offre donc un nouvel RPG encore plus complet qu'à l'accoutumée. Si on passe par l'habituelle création physique de son avatar, toujours aussi complète, comme par la répartition de quelques points chichement distribuées dans ces compétences de base (Force, Dextérité, magie, Ruse, etc...), il faudra cette fois choisir en plus de sa classe (Guerrier, Voleur, Mage), une "origine" à votre personnage (un peu comme c'était le cas pour Mass Effect) qui determinera un scénario qui vous introduira dans le monde de Ferelden et qui aura des conséquences réelles sur le déroulement de certaines quêtes (n'en déplaise à Dr Chocapic), ainsi un Elfe pourra être Dalatien (sauvage) ou au contraire Citadin alors qu'un humain sera de lignage noble invariablement (les seuls ayants droits au port d'arme) ou qu'un mage devra obligatoirement commencer dans une académie. Des choix limités pour certains mais qui collent tout à fait à cet univers de rigueur et de determinisme social qui englobe le jeu et rappelle en de nombreux points le Trône de Fer de G.R. Martin (Livre qui doit se voir également adapté sous peu), la fantasie n'a pas court en Ferelden et le joueur le découvrira bien assez tôt. Il faut également préciser que si seulement trois classes sont disponibles, celles-ci sont en revanche paramétrables de façon si pertinente que l'on peut en faire un peu tout et n'importe quoi selon son bon désir. Il sera également possible de débloquer des spécialisations au cours de votre aventure auprès de certains pnj ou grimoires (ces spécialisations seront alors débloquées pour tous nouvel avatar, pratique pour les adepte du Newgame + ou pour les perfectionnistes), une façon réaliste de progresser dans une voie. Au final, les possibilités sont telles qu'un guerrier pourra être templier, Berserk, Psychomancien, Champion, le tout en s'orientant vers le maniement du bouclier, ou des armes à deux mains voir à l'ambidextrie, alors qu'un Mage pourra être un prètre soigneur, un mage du sang, un métamorphe ou même un guerrier Mystique (sorte de chevalier jedi)... De quoi se faire plaisir en somme, surtout si l'on est un joueur méticuleux. Comptez donc au moins 12 classes de personnages disponibles...



Si les scenarii qui vous proposent de vivre une sorte de mini-aventure avant d'entrer dans le gros du jeu sont relativement brefs (1H30, en même temps ils sont juste là pour introduire le récit) ils se révèlent souvent passionants tout en offrant un moyen intelligent d'introduire certains leitmotiv du jeu (les problèmes raciaux, les luttes de classes ou de sucession...). Il faudra encore compter deux bonnes heures d'aventures palpitantes pour introduire le joueur à la menace de l'Enclin avant que celui-ci n'entame son périple véritable. Il faut noter que toute cette introduction est bien mieux gérée que celle de KOTOR ou Mass Effect où il fallait enchaîner nombres de quêtes dans des cités immenses avec pas ou peu de repaires pour le joueur alors Novice. Ici rien de tout ça, les quêtes, intrigues ou discussions se méleront habilement aux phases de combats qui dynamiseront le récit. On ne s'ennuie jamais dans Dragon Age : origins d'autant que celui-ci offre un background particulièrement original et bien loin des poncifs du genre. On oublie, par exemple, les majestueux elfes en harmonie avec un passé glorieux, ici ils sont les témoins d'une déliquessence terrible, la plupart d'entre eux sont des mendiants aux visages émaciés, incapables de citer un de leur héros populaire... D'ailleurs, il est bien difficile de trouver des heros en Ferelden tant ce monde compte d'intriguants et de nobles parjures et regicide, un univers bien loin du manichéisme évoqué par l'hypocrite Dr Chocapic. (Mettre sur le trône un fratricide doublé d'un régicide mais qui abolira l'esclavage ou égorger un enfant possedé pour être sûr de s'atirer les grâce d'un monarque pouvant rétablir l'ordre me paraissent des situations bien cornelliennes) De même les premières impressions ne seront pas forcément les bonnes et il sera toujours interressant d'explorer tous les scenarii d'introduction pour déméler certains mystères... Enfin, les plus impliqués d'entre vous, pourront se livrer à la lecture du codex, bien plus fournis que celui de Mass Effect, et ainsi découvrir l'histoire du royaume comme de ceux avoisinants, un bestiaire très complet, des notes indiquants des trésors cachés, les differents cultes religieux, des ballades romantiques, de la poésie naine fort peu lyrique, et bien d'autres choses encore. Je conseille d'ailleurs de presser directement la touche "select" après avoir ramassé une entrée de codex pour lire directement celle-ci car parfois on se retrouve noyé sous le flot d'information et il serait dommage de passer à côté de quelque chose d'interressant...
Que serait un JDR sans ses personnages? Dragon Age: Origins nous offre une belle brochette de personnages jouables (une dizaine dont certains demanderont une attention particulière ou des efforts spéciaux pour les recruter) au passé souvent tortueux et complexe (Le bon Dr Chocapic toujours près à s'écouter parler les qualifieras de Creux... C'est sûrement l'impression qu'ils font quand on se contente de répondre la première ligne des nombreux dialogues sans même réfléchir...). Individu à part entière, ceux-ci approuveront ou, au contraire désapprouveront certains de vos choix scenaristiques, (L'humeur de chacun est consultable via un menu) et pourra se traduire dans un cas par des cadeaux voir une histoire d'amour, ou dans l'autre par une desertion pure et simple ou une tentative d'assassinat. Les joueurs les plus maladroits pourront rattrapper certaines erreurs par le biais de cadeaux (à l'instar de Fable 2) dont certains déboucheront même sur des quêtes speciales, il est donc important de bien écouter ses compagnons pour savoir quoi leur offrir. Je précise également que les romances sont loin d'êtres "fleurs bleues" et doivent être géré avec attention, certaines erreur pouvant être fatale à la relation. De plus, chaque petits détails de ses relations auront leur importance, j'en veux pour preuve Morrigan, peut-être le personnage le plus complexe du jeu et avec qui nouer une véritable histoire d'amour solide est assez ardu, qui aura une grande incidence sur l'une des fins du jeu (au nombre de 4 bien différentes)...
Enfin, avant d'entrer plus avant dans une description du Gameplay, je me permet ici un petit paragraphe pour résumer le sentiment qui se dégage de Dragon Age: origins au vu du récit et de cette gestion particulière des personnages. Nombre de rôlistes sur papier aprécient tout particulièrement la liberté que peuvent offrir des univers libres à l'instar de ceux de Fallout 3, Oblivion et consors... Pourtant je trouve que la trame relativement dirigiste de DA:O se veut plus fidèle à une campagne de jeu de rôle. En effet, les "quêtes principales" du jeu peuvent s'identifier véritablement à des scénarri à part entière tant ils regorgent de rebondissement, de phases de combats épique et de personnages charismatiques, le Maître de jeu ré-orientant toujours plus ou moins ses joueurs, alors que les "quêtes secondaires" apparaissant dès lors comme les "à côtés" auxquels se livrent toujours les joueurs autour d'une table. Une fois les "quêtes principales" bouclées (un lien directeur évident apparaissant entre elles via des cut-scenes nous montrant l'état de la politique du Royaume) et la dernière bataille menée à bien, le joueur aura vraiment l'impression de sortir d'une longue campagne composé de multitudes de vrais scenars bien différents. La mise en situation finale fait d'ailleurs également fortement pensé à une fin de partie de jeu de rôle. Enfin, je trouve important de le souligner, il m'est arrivé de ressentir une sensation particulière en jouant à DA:O (et ce qui explique aussi le fait que je n'ai pas pu décrocher du jeu) que je n'ai que trop rarement ressenti. La dernière fois qu'un tel frisson ludique s'est emparé de moi, c'était à la fin d'une petite campagne de Mekton Z (JDR papier), les joueurs avaient quitté la table et je me retrouvais seul avec le Maître de jeu avec lequel je continuais de jeu. la symbiose était telle que notre individualité de joueur avait disparu au profit des personnages qui avait réussi à creer des liens incroyables entre eux. Cette symbiose, je l'ai ressenti entre mon personnage de DA:O et ses compagnons, à travers les motivations communes qui se liaient entre eux et les relations que je fasconnais avec eux... C'est assez rare pour être mentionné. Peut-être même que seuls les rôlistes peuvent comprendre, je ne sais pas...


Bref!
Techniquement, le jeu accuse un certain retard graphique du fait que Bioware a commencé le developpement du jeu il y a 4 ans environs (bien avant de faire Mass Effect). Si cela ne se ressent pas vraiment dans le phases d'explorations de "donjons", ou au travers de certains arrière plans magnifiques, les cut-scenes de dialogues, elles, accusent un peu le coup... Le moteur est assez performant pour afficher les détails d'armure et d'une architecture parfois vieillissante lors de l'exploration mais lors des dialogues, donc, elle offre un rendu un peu "baveux" sur les détails des costumes (heureusement les visages sont preservés sauf les dents). C'est assez flagrant mais n'enlève rien à l'immersion je vous rassure, et ce, grâce à un design des armures et de l'architecture (comme des créatures) assez réussi. Au niveau de la bande son, nous avons la chance de profiter d'une VF très correcte pour une fois (bien que certaines subtilités de langage soient parfois passé à la trappe dans le doublage), et la partition musicale, si elle semble moins inspirer que celle de mass Effect, car plus classique et moins dépaysante, offre tout de même des morceaux particulièrement bien sentis tantôt rappellant les meilleurs thème de la trilogie du Seigneurs des Anneaux de jackson, tantôt rappellant au contraire des films moins pretentieux comme le premier Evil dead de Sam Raimi...
Au niveau du Gameplay, Exploration et Combats se passent en vue à la 3ème personne, ce qui implique bien le joueur au coeur des affrontements. Il suffit de presser une fois la touche action pour attaquer sans relache un ennemi jusqu'à son trépas. Bien sûr, il est possible d'attribuer 6 raccourcis spécifiques et de manière assez intuitive à la manette (coups spéciaux, magie, potions,...) pour optimiser votre avatar, opération également possible pour chacun des personnages du groupe que vous pouvez controller comme bon vous semble lors des combats ou des phases d'explorations. Une option à ne pas négliger du fait que vous aurez tôt ou tard besoin d'un voleur pour desamorcer les pièges ou ouvrir les coffres, d'un herboriste pour concocter des potions de soins ou encore d'un assassin pour faire des poisons... A vous de trouver la complémentarité qui vous convient. Certains ont pretendus qu'il n'y avait pas de Pause Active sur console pour geler les combats, c'est totalement faux. Non seulement vous pourrez bel et bien activer une pause active pour afficher un menu radial très complet vous permettant d'avoir accès à tout votre matériel et vos liste de pouvoirs/compétences/sorts (dont les effets sont expliqués via la pression d'une simple touche que visiblement Chocapic n'a pas trouvé) que vous n'aurez pas pu mettre en raccourcis, mais vous pourrez alors également tourner la caméra à 360° pour vous rendre compte de la situation (et ce, pour compenser l'abscence de vue aerienne.). Un petit bémol vient de l'utilisation des sort de Zone qu'il vous sera difficile de bien gerer par moment du fait d'absence de camera aerienne (les sorts peuvent blesser vos hommes), je n'ai pas eu ce problème mais certains joueurs furent génés par ce système... Les plus fins stratèges pourront également profiter d' "emplacements tactiques" pour chacun des membres de votre équipe. Ces emplacements premettent de donner des ordres précis selon des situations données (ex: Personnage: soins sur PJ si Vie inférieure à 50%), leurs nombres augmentent au fil des niveaux, et une fois ces éléments maîtrisés vous obtiendrez une redoutable équipe. (il existe de nombreux tutoriaux sur le net) Le jeu n'est cependant pas très difficile même s'il n'y a bien que Chocapic pour avoir la bétise de dire qu'il suffit d'appuyer sur le bouton d'action pour finir le jeu car certains combats, surtout contre des créatures de type draconiques, se révèlent corsés. D'ailleurs le joueur pourra se rejouir de finish moves speciaux pour certains boss quand il ne se delectera pas tout simplement des décapitations et autres mutilations (un peu trop rares cependant) découlant des coups critiques sur les ennemis de base. Après des rixes trop violentes il faudra penser à bien soigner ses personnages tombés au combats qui se verraient alors attribuer des blessures handicapantes. Pour se faire, il suffira de passer par l'inventaire très complet du jeu comprenant nombre d'onglet et d'informations sur la sauvegarde du joueur ou sur l'avancement de ses quêtes principales ou secondaires (très nombreuses et agréables)... Après avoir accumulé suffisament d'expérience, vous pourrez distribuer des points de compétences et vous offrir de nouveuax attributs pour vous ou votre personnage, la limite de niveau étant situer à 25 (personnellement j'ai terminé le jeu en 60h et en étant niveau 22.) Petit détail amusant, les affrontements donneront lieu à des geysers de sang qui laisseront des taches sur les personnages qui arboreront un aspect pour le moins négligé lors des cut-scenes, une option permet au plus sensibles d'enlever ce détail (encore une option que Chocapic n'a pas du voir...)...
Inutile de discourir plus longtemps, Bioware nous offre la possibilité de nous essayer à un jeu de rôle très complet, bénéficiant d'un univers sombre raffraichissant et qui retranscrit au mieux les sensations éprouvés lors d'une partie de JDR reussie. Dragon Age propose au joueur de vivre une campagne plus épique et poignante que les dernières réalisation Bioware pourtant d'une qualité déjà irreprochable, une aventure pas seulement mue par votre maîtrise de l'épée mais par votre rhétorique et votre ruse ou vos menaces, par vos liens tissés avec d'autre personnages (comme jamais dans un jeu vidéo), une expérience assez rare ces dernières années...
N.B:
1/ Les version récentes du Jeu bénéficient de deux DLC gratuits dans la boîte du jeu. Le premier offre une armure équilibrée pour DA:O ET pour Mass Effect 2. Elle ne nuit pas au plaisir car elle n'est pas de type Gros Bill, certaines armures lui étant supérieure. le second est une série de quête secondaire qui rallonge la durée de vie et offre un nouveau personnage jouable pour la compagnie. DLC d'une valeur de 1200 points microsoft, il est assez agréable de le trouver gratuitement avec son jeu.
2/ Il en existe un disponible pour 560 MP, assez courts, il offre une quête secondaire assez sympathique pour en apprendre plus sur les gardes des ombres, ainsi qu'un joli set d'armure.
3/ Un nouveau DLC estannoncé, il offrira une quinzaine d'heure de jeu supplémentaires ainsi que dunouveau matos et un limite de niveau repoussé.
Note: 19.5/20 (pour ne pas mettre 20)
Note Succès: 4/5
Auteur: Manji
- En ce monde, tu ne peux te fier ni aux hommes, ni aux femmes, ni aux bêtes... A ceci, tu DOIS te fier!
( Le père de Conan expliquant les secrets de l'acier à son jeune fils dans Conan, le Barbare de John Milius.)


7 commentaires:

  1. J'ai tout envie d'y jouer maintenant ! Que ceux qui se sentent un peu rolistes dans l'âme écoutent les conseils avisés de Manji, fort connaisseur en la matière. Ca a l'air d'être le paradis du vrai rp et des histoires au service de vrais personnages (enfin !). Je suppose que les excités de la souris en manque de reconnaissance et d'xp passeront leur chemin, préférant tuer Diablo pour la centième fois en criant "Et paf ça fait des Chocapics !" Tant pis pour eux, je préfère des pnj ordi intelligents que des "rolistes" en culotte courte ^^ Vite je veux y joueeeer !!!

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  2. Aaaaah tu l'aimes ton Dr Chocapic (gamekult.com). C'est vrai que c'est honteux de le laisser tester des jeux consoles, vu qu'il a un parti-pris PC gros comme...(non je la ferais pas). Ce mec a détruit la version Xbox360 de Dragon Age, faisant hésiter vraisemblablement quelques joueurs désireux de ne pas se tromper en achetant un jeux à 60 €, alors qu'au finish le jeu est très recommendable. Pour appuyer ton entrée en guerre contre la mauvaise foi et la médiocrité voici l'exemple HORS SUJET (et je m'en excuse) de FEAR 2:
    Selon Mossieur Chocapic, le jeu est, je cite, "horriblement facile, court, trop dirigiste, et...MOINS BEAU ET FLUIDE QUE SUR PC!!!" Ah ben oui, quelle surprise, et ma voiture elle est moins bien qu'une Ferrari F50, mais en quoi cela est-il un défaut?? Le jeu est dirigiste, ah oui, mais c'est un FPS, et a part Metroid Prime, on peut en dire autant de la plupart des FPS mais...en quoi cela est-il un défaut?? (c'est d'ailleurs recherché par beaucoup de joueurs, voir Modern warfare 2). Le jeu n'est pas non plus court, c'est un mensonge. Et vous vous en doutez, il n'est pas non plus "horriblement facile", il parle meme d'une "incroyable facilité du jeu - qui doit impérativement être pratiqué en mode de difficulté maximale". Essayez et dites nous si c'est agréable de mourir toutes les 5 minutes, parce que je peux vous jurer que les mecs en face ils font pas semblant quand ils vous contournent ou vous harcèlent de grenades.

    En conclusion y'a des testeurs qui devraient réfléchir, arreter de se la péter et arreter d'etre amoureux de leur PC. Ou abandonner les tests consoles s'ils aiment pas ça.

    Julos, qui aime réduire en poussière ses Chocapics au petit dèj.

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  3. Sans critiques aucunes, je n'arrive pas à accrocher aux RPG Occidentaux et à leur univers. J'ai trop une culture manga je pense....mais en tout cas, je veux bien te croire si tu dis que le jeu est super ^^

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  4. C'est marrant mais moi j'étais pareil avant (saga suikoden for ever) et ce jusqu'aux Next-Gen. Je trouve que les RPG Nippons ne sont pas top sur les nouvelles consoles (mais faut que je prenne le risque sur certains dont tu parles sur ton blog)...

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  5. Raconté comme ça, ça parait passionnant, mais en fait, j'ai des mauvais souvenirs de ce genre de jeu à cause de World Of Warcraft, alors je ne pense pas que m'en approcherai beaucoup. Mais sinon, je suis sûre que ça m'aurait intéressée d'y jouer.

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  6. Je te rassure le jeu est bien meilleure que WOW surtout grâce à un scenario bien plus prenant, des quêtes plus interressante et une linéarité bienvenue.

    Manji.

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  7. J'ai dû lire cet article une dixaine de fois en me tatant à chaque fois "je le prend ou pas..."
    Mais je crois que tu m'a convaicu maintenant.

    Je le prend, oui, pour les chocapics !!

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