BATMAN ARKHAM ASYLUM

Nom: Batman Arkham Asylum

Genre: Aventure

Date de Sortie: Août 2009

Pitch: C'est une longue nuit pour Batman. Le protecteur de Gotham va devoir mettre la main sur le Joker qui a libéré tous les detenus emprisonné dans l'asyle d'Arkham et dejouer les plans du criminel aux blagues douteuses...




Je ne ferais pas traîner un suspense inutile, ce jeu est une véritable bombe dans le paysage ludique des super-héros. En effet jusqu'à présent, jamais un jeu de super-héros n'avais aussi bien cerner l'univers et les personnages dont celui-ci s'inspirait. Libre adaptation du magnifique comics sorti quelques années auparavant où Batman était le jouet des differents super-malades mentaux, les devellopeurs offrent ici aux joueurs la possibilités de se mettre dans la peau du justicier qui avant toute chose est "le plus grand detective du monde". Ainsi le justicier devra trouver differents indices (suivre des traces d'adn, des molécules d'alcools,etc...) pour mener à bien son enquète et parvenir à la confrontation finale avec le Joker. Pour se faire il devra utiliser de nombreux gadgets de l'industrie Wayne Corp (pass partout magnétique, bat-grappin, batarang sonique, gel explosifs, visions spéciales,etc...) quand il n'aura pas pour passe-temps de déchiffrer les très nombreuses énigmes de l'homme mystère... Cette enquète d'une nuit ne prendra au joueur lambda qu'une quinzaine d'heure (un peu plus s'il veut faire toute les énigmes de l'homme mystère) mais jamais celui-ci ne sentira pointer l'ennui et ce malgré quelques aller-retours à travers les differents bâtiments de l'asyle d'Arkham (Manoir, Soins Intenssifs, cellules, etc...) et ce grâce à un scénario digne d'un véritable comics (ou d'un très bon épisode de la série des 90's) et à une mise en scène impécable lors des nombreuses cinématiques faîtes avec le moteurs du jeu. Moteur qui se révèle tout bonnement magnifique (Unreal Engine 3 merci) et qui place Batman comme l'un des plus beau jeu de la 360 (on regrettera seulement que la physx ne soit que partielement gérée). Une petite idée scénaristique interressante par rapport au moteur graphique est la destruction du costume de batman. Contrairement à wolverine où le costume se déchirait selon les dommages, là le costume s'abime au fur et à mesure de l'avancée dans le scénario. C'est une bonne idée car il serait un peu stupide de voir un batman au costume défoncé des le premier boss. Non, là on sent vraiment que la nuit est rûde au fur et à mesure que l'aventure progresse et que la barbe de batman commence à apparaître! (véridique) Pour achever l'immersion les fans de la chauve souris seront gatés puisque que l'on retrouve pas mal de mechants de l'univers créé par Bob Kane comme le Joker, Killer Croc, Poison Ivy, etc... (une vingtaine de méchants sont présents même si les 3/4 sont plus des allusions qu'autre chose) Le doublage en vf est correct sans être transcandant. Le jeu de Batman n'est pas terrible face à celui du Joker (le véritable doubleur du joker des séries animées) ou de Gordon. Par contre la V.O est de toute beauté, Batman y est particulierement crédible (pas bourrin mais determiné) et le joker est incroyable! (il est campé par Mark Hamill, qui se révèle un très bon doubleur -il est la voix officielle du joker dans la série animée, à la fois barge et inquiétant- qui s'était déjà illustré en incarnat un wolverine parfait dans Wolverine's revenge sur play 2) En plus de se trouver nez à nez avec ses méchants fétiches le joueurs débloquera des "figurines 3D", des biographies et des enregistrements Psychiatre / supervillain... Un régal!

Dans Batman, le joueur pourra décider (ou devra impérativement dans certains cas) de devenir un predateur silencieux et redoutable en éliminant les ennemis de façon silencieuse. Pour ce faire, il pourra profiter d'un gameplay tres intuitif pour utiliser differents élément de décors comme des grilles, des gargouilles, des rambardes, des vitres fragiles, ect... Une des vision du masque de Batman permettant de voir les armes des punks du joker (la priorité étant d'eliminer les porteurs d'arme à feu)mais surtout le rythme cardiaque de ceux-ci et ainsi jouer de leur terreur. Mon petit plaisir, pour vous donner une idée du soft, et de chopper un gars et de le suspendre à une gargouille. Lorsque ses potes viennent le voir je lance un batarang et coupe la corde pour que le gus leur tombe dessus. Frousse garantie!

Les combats (forcément très présents dans le titre) offre une simplicité de prise en main (1 bouton pour taper, 1 pour contrer et l'asociation des deux pour faire une prise) incroyable et qui donnent lieu à des joutes impressionantes. En effet l'absence totale de combos et le faite d'appuyer sur 1 seul bouton pour cogner pourrait en rebutter plus d'un... Mais tout à son importance dans ces corps à corps et la pression du bouton de coup donnera un resultat bien different en fonction de chaque situation et en fonction du timing du joueur. Ne croyez pas pour autant que le tout rend le jeu trop facile! Il faudra savoir minuter ces enchainements avec précision pour venir à bouts des hordes d'adversaires qui vous tombent dessus (souvent du 1 contre 8)...

Au fur et à mesure de sa progression dans son enquête, dans sa resolution des énigmes de l'homme mystère et des bastons, l'homme chauve-souris accumulera de l'xp qui lui permettra de débloquer divers gadgets, prises aux corps à corps ou amélioration d'armure...

Enfin pour les fan d'infiltration ou de beat'em all, le jeu offre une série de Défi qui vous permettent de revivre des passages clés du jeu et permet au joueur de se défouler sans avoir à refaire tout le jeu, une idée bienvenue et qui se voit réhausser par la présence de DLC gratuits permettant de prolonger cette experience (au jour d'aujourd'hui: deux niveaux d'infiltration, 1 mode survival et un mode beat'em all.)...

Note: 19/20 "No Bane... This Time... I break you!"

Note Succès: 5/5

Auteur: Manji

MASS EFFECT

Nom: Mass Effect

Genre: Jeu de Rôle Futuriste

Date de Sortie: Novembre 2007 - Exclusivement sur PC et XBOX 360

Pitch: Le lieutenant Shepard et son équipage mène l'enquète sur une menace qui vise à consummer la galaxie toute entière.


Les créateurs de Mass effect ne sont pas vraiment des nouveaux venus dans l'univers du JDR puisqu'ils sont responsable du délicieux Knights Of The Old Republic sur PC ainsi que du surprenant Jade Empire sur la première XBOX. Autant dire que le joueur sait à quoi s'attendre lorsqu'il se penche sur le bébé de Bioware. Retour à la SF donc mais cette fois dans un univers créé de toute pièce mais cependant d'une richesse incroyable. Bien sûr on explore une partie infime de l'univers mais les nombreux documents à disposition du joueur (via une interface asez bien faîte) abondent de détails scientifiques, sociaux culturels et historiques qui achèvent de donner de la véracité à un background dans lequel on entre assez facilement! (Ah la politique et les conflits inter-sidéraux!)

Niveau Gameplay, le jeu offre une expérience formidable brassant JDR classique et action à la 3ème personne (TPS) même si cette dernière est bien plus présente que la partie JDR (surtout comparé aux précedentes productions du studio). Attention ceci n'est en rien une critique car ces phases de shoot sont très bien réalisées, nerveuses et souvent bien scriptées.

La partie JDR est également incroyablement bien concue. Si on passe par les classiques du genre comme la création de l'avatar (générateur qui comptent des qualités comme des défauts: possibilité de faire un grain de peau vieux ou véroleux contre un manque cruel de coupe de cheveux par exemple), le choix de la classe du perso, la gestion de l'equipement du héros comme de ses sbires pnj, de ses stats et de ses pouvoirs, il est une trouvaille formidable qu'est le dialogue dynamique. Je m'explique. Lors des dialogues avec les differents PNJ du jeux (et ils sont nombreux malgré tout) vous pourrez influer sur certaines réponses. Ceci ne se limite pas à juste proposer une variation sur les lignes de dialogue mais bel et bien sur la mise en scène et l'histoire. Un personnage aggressif aura accès à certaine lignes de dialogues qui bouleverseront ce qui se passera à l'écran et auront une véritable incidence sur le jeu (je crois que les extra-terrestre ont encore du mal à se remettre de mon clint un peu facho), il en va de même pour certains choix terriblement dramatique ou même romantique!!! Malheureusement le jeu compte peu de véritables quêtes où le dialogue entre en compte, où les personnages se frotte à la plèbe, ou encore des situations un peu plus fines comme subtiliser des objets, désamorcer des bombes, etc... (attention il y a quand même ce genre de quêtes!) La majorité des quête consisteront à nettoyer des secteurs à coup de flingues, et à explorer des mondes (un peu trop) vides à la recherche de ressources symbolisées sur la carte par divers motifs. Aussi est-il génial de voyager à travers plusieurs galaxies mais encore eut-il fallut qu'elles nous offre un peu plus de vie et moins de répétitivité. Ne crachons pas dans la soupe, cela reste un très très bon jeu de rôle, un peu court et bourrin mais offrant une expérience délicieuse surtout pour les fan de SF. Le charac design fait souvent honneur à l'univers du jeu et aux races extra-terrestres qui sont croqués avec justesse, certaines sont même tout simplement géniales et rivalise facilement avec l'univers de Star Wars. Un dernier mot sur la musique qui est superbe...

Comme je le disais la partie TPS est assez réussie, le joueur peut switcher en permanence entre 4 types d'armes (pistolet, fusil, pompe ou snipe) dont on apreciera le design selon ses gouts personnels. Armes et Armures peuvent être booster par l'addition de bonus qui ne modifient pas le skin mais offre des avantages non négligeables. Les sbires du héros peuvent être commander de façon très intuitives même si je ne les ai pas forcement trouvé très réactifs (le joueur sera toujours obligé de se coltiner deux sbires parmi ceux disponibles). Bien sûr qui dit JDR dit forcément magie (beurk!). Ici elle est assez bien foutu (avec une utilisation toujours très intuitive) et s'inssère bien dans un univers futuriste où la technologie domine souvent les arts mystiques...

Je vais clore cette petite critique en passant par la case "technique". Mass effect offre des graphismes qui n'ont pas à rougir même s'ils sont un peu en deça de la production actuelle. Pour un jeu de 2007, il reste vraiment très beau. Les devellopeurs ont misé au maximum sur l'univers qui entoure le plus le joueur (son perso, ses sbires, le vaisseaux, la quête principale) et un peu moins sur les textures des quètes secondaires, moins belles et souvent répétitives. Le jeu souffre également d'une sorte de lag permanent dont il est possible de s'affranchir mais qui choque un peu visuellement les premières fois...

Un très bon JDR où on ne s'ennuie quasiment jamais et que tout fan de SF se doit de posséder.

Note: 17/20

Note Succès: 3/5

Auteur: Manji

"J'ai le sentiment profond qu'à un certain degré il y a presque autant d'univers qu'il y a de gens, que chaque individu vit en quelque sorte dans un univers de sa prpore création: c'est un produit de son être, une oeuvre personnelle dont peut-être il pourait être fier." P.K.Dick

RISE OF THE ARGONAUTS

Nom: Rise of the Argonauts

Genre: Aventure

Date de Sortie: Decembre 2008

Pitch: Jason de Iolcos, Fils de Trion, doit rassembler un équipage à bord de l'Argos, son navire, pour partir à la recherche de la Toison D'or et sauver sa promise, la fille du Roi Lycomède.




Encore un jeu qui reçu un accueil mitigé de la part de la critique et qui provoqua une grande polémique entre les joueurs, certains adorant le soft et d'autres le maudissant. Il faut dire que le jeu se voulait très ambitieux et les developpeurs avaient commis l'erreur de diffuser des trailers dévoilant monts et merveilles que le joueur ne retrouvera pas dans la version définitive du jeu (certaines îles, personnages, cinématiques et quêtes sont passé à la trape.)... Pour certains c'est l'appat du gain qui aurait poussé les developpeurs a bacler le jeu pour le sortir en période de noel...

Enfin bon, ne jugeons pas ce qui aurait pu être mais ce qui est.

Graphiquement, le jeu s'en tire de façon correcte avec un moteur graphique éfficace (le fameux Unreal engine) mais pas exploité de la façon la plus brillante qui soit. Si certains détails sont grossiers, il ne choquent cependant pas grâce aux choix esthétiques fantaisistes du soft (Heracles bonjour) et les décors des differentes îles que traversera le joueurs (Iolcos, Mycènes, Saria,..) sont très variés et bien retranscrites. Le character design est également très inspiré, notament pour les armures (moins pour les armes) ainsi que pour les design de persos secondaires comme Dédale, médée ou encore Phédon. On a donc aucun mal en rentrer dans cet univers passionant qu'est la mythologie Grecque. Cependant il faut souligner la présence de l'eternel problème de l'Unreal Engine: Certaines textures mettent une demi seconde à s'afficher et le resultat peut géner le plaisir des yeux. Bien pire est l'effet de sacade que l'on retrouve dans certains décors de l'île (Souvenez vous Mass effect), on s'y habitue certes mais c'est toujours aussi désagréable. Les cinématiques tournent avec le moteur du jeu, ce qui permet d'en inclure un bon paquet et ce, sans provoquer une rupture visuel qui nuirait à l'immersion.

Au niveau du Gameplay, le jeu est assez bien conçu. Ici points de points d'xp (et oui j'use de formules rigolotes) mais des fais d'armes qui sont enregistrés (Donner les derniers rites funéraires à un personnages, se faire orateur pour plaider une cause, vaincre une créature mythologique, j'en passe et des meilleures) et qui peuvent être offerts aux quatres dieux qui soutiennent jason. Un détail astucieux et qui renforce l'esprit "Mythologique" du soft. Ces 4 divinités (Hermès, Arès, Appolon, Athéna) offrent différentes compétences et plusieurs pouvoirs disponibles selon le principe d'arborescence sur laquelle on progressera en leur offrant des "faveurs". Deplus lors des scène de dialogues, le joueurs pourra choisir plusieurs réponses qui auront à la fois une incidence sur la réaction des pnj mais aussi sur l'arboressence divine. En gros, un joueur plutôt sec, agressif et courageux dans ses choix gagnera l'attention d'Arès... Tout ces détails aident vraiment le joueur à rentrer dans cet univers qui s'offre à nous. Un univers d'ailleurs fort peu fidèle à la véritable mythologie (Achille en tant qu'argonautes, la présence de Nessos, Médée n'est pas l'épouse de Jason, l'île de Colchyde n'est pas présente) mais le principe même de la mythologie et de temoigner d'actes, de situation et de récits souvents imprécis. Bref ils réinterprètent les mythes mais cela ne sonne jamais faux, bien au contraire. Les relations entre les personnages sont bien retranscrit notament à l'aide de dialogues très inspirés, la VF n'étant pas mal joué mais mal mixé cette fois! (Je dois le refaire en V.O pour juger de cette dernière mais au vu de certaine vidéo elle semble de qualité.)

Le système de combat est assez basique et s'articule autour de combo lié à 3 armes (glaive, lance et masse). Pas de lock ici et c'est tant mieux cela permet de réagir très rapidement aux assauts des ennemis. les pouvoirs divins que se voit octroyer jason se déclenche avec la croix directionnel, un mécanisme des plus classique et efficace. Il faudra souligner une trouvaille de choix (que personne dans la critique n'a soulevé ) : le bouclier. S'il sert à la fois à parer et à frapper, le jeu prend en compte sa position lorsqu'on est frappé. Ainsi, il n'est pas necessaire de se proteger d'un enemi qui sera sur le flanc gauche de jason car son bouclier (meme si la touche de garde n'est pas préssée) protège cette partie du corps. Cela permet donc pendant certains combo ou le personnage frappe à tout va, d'avoir une protection permanente sur une partie de son corps. (je ne suis pas très clair, je sais.) Pas de barre de vie pour Jason et ses Argonautes mais des dommages apparents, du sang à foison et une petite musique qui nous prévient quand notre fin est proche...

Le jeu se termine en une quinzaine d'heure à peine mais le voyage est vraiment prenant.

Note: 16/20 "là! Et là! En voila d'autres! Encore d'Autres! Les enfants de l'Hydre!"

Note Succès: 4/5

Auteur: Manji

CONAN

Nom: CONAN

Editeur: THQ

Genre: Beat'em All 3D

Sortie: Septembre 2007

Pitch: Conan s'est frotté à un sorcier qui l'a presque laissé pour mort. Le voici lancé dans une quête de vengeance qui vise à récuperer les biens qu'on lui a voler et a mettre fin aux agissement du vénal sorcier.



Voila un jeu qui a plus ou moins subit les foudres de la critique à sa sortie. On lui reprochait des graphismes peu convaincants, un univers Kitch (!!!), un gameplay un peu limité, et une VF désastreuse. Autant le dire tout de go je suis en désaccord quasi-complet avec ces critiques...

Commencons par les sacro-saints graphismes (à croire qu'il n'y a que cela qui compte de nos jours), certes ils ne sont pas les plus fin qui soient (bien moins pompeux qu'un God of War) mais ils sont des plus honnètes pour ce genre de jeu d'autant que la caméra reste régulierement éloigné des personnages pour une lisibilité des plus éfficace. Ingame on distingue cependant parfaitement chaques viscères arrachés ou membres mutilés lors des pugilats. Le character Design est également très bien rendu (exception faîte des créatures noires) et on identifie rapidement les différentes ethnies de ses ennemis (stygiens, assassin shémites et autres). Les décors ne sont pas en reste et l'architecture est assez fidèle à l'oeuvre d'Howard tout en étant variée. Non, le seul défaut visuel de ce jeu est lié au "cinématiques" qui utilise le moteur du jeu (et j'ai l'impression que peu de gens l'ont compris) car c'est là qu'il révèle ses faiblesses. Idéal pour une vue semi éloignée, il ne permet pas d'offrir des détails crédibles en gros plan (cela se ressent surtout sur les visages et les détails de l'anatomie). Mais le jeu à choisi d'offrir de nombreuses cinématiques plutôt que de nous pondre une grosse bombe visuelle sans âme au début et à la fin du jeu. L'immersion est plus grande mais au détriment de nos mirettes mais au final, c'est pour le mieux...


Je ne vais pas m'apesantir sur la critique de l'univers du jeu car il est totalement stupide de dire qu'il est kitch. Si le monde Barbare de Conan où le conflit de classes, la violence, ses cultes Lovecraftiens, le sexisme est Kitch alors que dire de certains univers où les heros se roulent amoureusement dans l'herbe, les oreilles en pointes et du poils au pieds...? Non le jeu certes survole l'univers d'Howard et, est loin d'en chopper la complexité, mais de là à parler de Kitch je suis choqué (en même temps quand on voit des testeurs incapavbles comme Dinowan)...

La maniabilité est des plus classique, du niveau d'un God of War au final avec quand même bien moins de phase plateformes (ouf) et le jeu offre une grande série de combos (que l'on débloque à l'aide de points d'xp) selon le choix du type des armes (arme à une main, arme à deux mains, boucliers, deux épées..) qui peut se décliner en plusieurs combinaisons car il est possible de se saisir des armes de TOUS ses adversaires. Conan bénéficie également d'une plétore de contres meurtriers qui laissent souvent place à des morts assez gore visuelement. Un gameplay de guerrier complet dont le seul défaut (perso) est d'offrir en plus de cela de la magie. Certes elle provient d'artefacts mais Conan et la magie font rarement bon ménage. La durée de vie est correcte pour ce genre de soft, une dizaine d'heures.

Mais Conan possède en effet un terrible problème... Sa VF! Une horreur des plus insipides surtout quand on sait que le doubleur original n'est autre que le génial Ron Perlman!!! Le barbare étant assez loquace dans le jeu, cela fait d'autant plus mal... Mais au final... Mettez simplement votre console en Anglais le temps de jouer et hop miracle on tombe sur la succulente V.O (certaines répliques de Perlman collent parfaitement au barbare)!!!

Non le seul défaut c'est qu'il n'y a pas d'araignées géantes! (récurrentes dans l'univers de Conan, car le cimmérien deteste ces créatures qui glacent son sang de nordique)

Note Perso: 15/20 "I am Conan, and I serve no man!"

Auteur: Manji